

Il n'y a de Bretagne que si la langue bretonne existe. Les Bretons et aussi les Français sont massivement favorables à sa survie.
Mais l'Etat français reste en retrait sur nombre de conventions de l'ONU et de la Communauté Européenne appelant au respect des langues minoritaires.
Dans les termes où le problème est posé depuis plus de deux cents ans, il est sans solution : car les régionalistes et les centralisateurs, qui incarnent deux conceptions de la République sont également sincères.
Examinant les évènements de l'été 2008 qui ont abouti à une modeste inscription des langues régionales dans la Constitution française. Michel Treguer poursuit et achève une réflexion amorcée dans ses deux précédents ouvrages : Aborigène occidental et Espèce d'homme !
Il propose les modalités d'une "paix des braves" qui permettrait à la Bretagne de sauver sa culture et à la France d'améliorer son image internationale.
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